jeudi 17 juillet 2008

la immigración

Alors, d´un côté il y a les douaniers français, qui délèguent à une station service (par exemple celle de la Pointe du Bout en martinique) le soin de compléter les formulaires de sortie des bateaux. De l´autre, il y a les douaniers vénezuéliens qui se tracassent de la présence d´un tapon seulement les années bisextiles (ou quelque chose comme ça).
Bref, il aura quand même fallu attendre près de trois jours pour que la douane de Porlamar nous délivre la clerance et nous laisse enfin entrer officiellement sur le territoire.
Notre libération aura tout de mème nécessité une longue leçon de morale -sur fond de Tom et Jerry - vantant le sérieux des autorités d´un vrai pays (comprendre le Venez) et dénigrant le laisser-aller de l´administration des petites ìles caribéennes.
Le discours aurait presque été convainquant si le dit douanier n´avait pas oublié de tamponner le passeport de Mary (et si Jerry n´avait pas coupé la queue de Tom pile au moment où il fallait ètre très concentré) !

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